Leandro Erlich – Galleria Continua

Nathalie Marchal: 
« J’ouvre ma sélection « Art Paris – Art et environnement » avec Leandro Erlich (1973, Argentine). Artiste plasticien illusionniste internationalement reconnu pour ses œuvres poétiques in situ, il questionne le regard sur ce qui nous entoure et à distinguer le vrai du faux, le réel ou la construction humaine, notre perception de l’environnement et à changer de point de vue. Il avait créé les installations « sous en ciel » notamment en 2018 pour les espaces du « Bon Marché » à Paris. »

Bao Vuong – A2Z Art Gallery

Nathalie Marchal: 
« Une nuit, alors qu’il n’avait qu’un an, ses parents décidèrent de fuir par la mer leur pays meurtri par la guerre. Dans sa recherche artistique actuelle et par l’utilisation de ses divers matériaux dont la peinture à l’huile brute, il s’attache à illustrer l’exil de sa famille. Présenté notamment à Asia Now fair »

Kwang Bum Jang – Galerie Françoise Livinec

Nathalie Marchal: 
« Ses oeuvres sont en lien avec le mouvement monochrome, abstrait et méditatif du Dansaekhwa et l’obsession du temps qui passe qu’il compense en accumulant des couches de peintures. Il puise son inspiration dans la peinture impressionniste de Monet par l’observation de la nature et ses multiples variations de la couleur. En 2022 il est finaliste du concours International d’art contemporain ».

Catherine François – Galerie La Forest Divonne

Nathalie Marchal: 
« Récente exposition à la galerie où l’artiste a créé des têtes imaginées à partir de fragment ramassées sur les plages du monde : plastique, bois, métal, ces rebuts associés à la magie du bronze deviennent un œil, une bouche, un nez et y impriment leurs expressions insolites. En créant cette foule de personnage, Catherine François dresse le portrait de notre société entre ses aspirations de consommations et les déchets qu’elle produit, que la Nature nous rend, ramenés par la mer. Œuvres organiques ».
#abstraction #mouvement #energie

Alina Frieske – Galerie Fabienne Levy

Nathalie Marchal: 
« Peindre avec des photographies ». Ses œuvres m’interroge à l’ère des datas center et l’utilisation effrénée des réseaux sociaux / enjeux environnementaux. Son travail révèle une nouvelle vision de toutes les informations que nous recevons en permanence. Elle utilise des outils de recherche, comme google images, pour retrouver son matériel photographique à partir de l’algorithme en place. Ses projets étudient la valeur et l’accessibilité de l’information visuelle en ligne. Des fragments d’images tirées de plateformes de médias sociaux sont reconstruits dans de nouveaux scénarios.
Ainsi, le sens originel des images est replacé dans un autre contexte

Jacqueline Lamba – Galerie Pauline Pavec

Nathalie Marchal: 
« Série « Ciels » commencée dans les années 60. Artiste femme inspirée par la nature, la lumière, le mouvement. Epouse le surréaliste André Breton en 1934. Amie de Frida Kahlo, Dora Maar, Picasso… En 1944, elle publie un manifeste de la peinture. »
#femmeartiste #artistefemme

Rune Guneriussen – Galerie Olivier Waltman

Nathalie Marchal: 
« Photographies où les objets « livres » ou « lampes » constituent une présence forte par ce détournement de leur utilisation, fonctions initiales, dans le paysage imaginé et créé par l’artiste, telle une intervention « Land Art ». L’artiste dont j’ai proposé une série de photographie pour un lieu partenaire en 2016 dans le cadre du « Parcours Saint-Germain » (collaboration), est également représenté par la galerie Mélanie Rio, Nantes (Paris Photo 2021). »

Ugo Schiavi – Double V Gallery

Nathalie Marchal: 
« Les sculptures d’Ugo Schiavi se présentent comme des fragments de corps érodés par le temps, destinés à une archéologie du futur. idèle à sa pratique du prélèvement et de la capture du monde extérieur, l’artiste produit des télescopages de temporalité et de civilisation allant de la culture antique à celle de la surproduction industrielle.
Il a conçu des êtres hybrides : sortes de chimères composites formées d’objets et de matériaux hétérogènes, comme jaillis de l’inconscient de nos sociétés post-industrielles. »

Pascale Marthine Tayou – Galleria Continua

Nathalie Marchal: 
« Cet(te) artiste (Un prénom masculin-féminin adopté par désir de toujours repousser les limites, qu’elles soient mentales, culturelles ou géographiques) est connu(e) d’un large public international.
Ses œuvres, un art sans frontières, qui assemble toutes sortes d’objets récupérés sur son chemin, ne sont pas seulement médiatrices en ce sens entre les cultures, ou placent l’homme et la nature dans des relations ambivalentes l’une par rapport à l’autre, mais sont produites en sachant qu’elles sont des constructions sociales, culturelles ou politiques. Par ces objets usuels détournés de leur fonction… réflexions sur la société, la mondialisation. Présenté dès 2002 à Documenta 11 de Kassel. »

Guillaume Linard Osorio – Galerie Gutharc